On n’arrête pas d’entendre dans les Radios, journaux, et tout sorte de forums de discussions ! Des propos style « Est ce que il n y a pas un risque à acheter ou vendre sur Internet? » « Est ce que E-commerce est vraiment sécurisé sans risque ? » « Est ce que e-commerce tunisien est totalement sécurisé, Car je connais une personne qui s’est fait piratée sa carte ! » Avec toutes autres citations tant entendues qui évoquent les problème de sécurité dans le paiement électronique : Des questions et exclamations qu’on entend partout dans medias tunisiens et même dans celle des nouvelles technologies.
1- Permettez moi de vous informer si on parle d’une sécurité totale sur Internet c’est comme on parle une porte sécurisé 100 % ou comme parler d’un pc qu’on ne peut jamais le pirater , à moins que vous le déconnectez d’Internet et encore avec le piratage par ondes on peut vous avoir ((et vous pouvez googler piratage TEMPEST sur Google ) => DONC qu’il faut savoir qu’il y a toujours des systèmes qui prétendaient être totalement sécurisé mais des pirates sont arrivés à les « casser » et y infiltrer .
2- Je voudrais bien préciser que les fraudes de paiement ou les problèmes de sécurité sont des sujets concernant les cinq continents du monde et c’est sont pas un sujet spécifique exclusivement à la Tunisie
Et 3- Mais c’est en sécurisant au maximum possible avec des techniques spécialisées qu’on a moins de risque possible , on rend la tache plus difficile au gens malveillants et on tend à rendre l’infraction très difficile avec un risque de fraude très minime ; d’ailleurs dans ce contexte il y a des lois internationales évolutives concernant les infractions sur le Web et la cybercriminalité.
Moi personnellement avec plus que 10 ans le secteur des réseaux informatiques et IT je sais bien qu’on a mis à l’échelle nationale depuis quelques années beaucoup de moyens et ressources pour sécuriser nos plateformes de paiement électronique et que les niveaux de sécurités des transactions sont conformes en grande partie au normes internationales, et pour être très objectif afin évaluer en détails les risques actuels , il faut une comité technique spécialisée pour évaluer ces point en 2012 car améliorer la sécurité informatique car c’est un travail continu, d’ailleurs comme toute autre sécurité, il faut toujours un suivi.
Donc si l’aspect de sécurité n’est pas une chose particulière à la Tunisie et que ce n’est pas le niveau technique de sécurité qui cause les obstacles ; alors pour quoi tant de bruit ! Où est le problème réellement alors ?
Le problème c’est bien l’image désagréable que le tunisien perçoit du paiement sur Internet avec le manque de culture d’achat sur le Web ; c’est un peu semblable au principe qu’on a vécu en Tunisie avec l’histoire de vols des organes des enfants (dans la politique aussi, après le 14 janvier il y a beaucoup d’exemple sur l’effet de l’info ou Intox mais je veux éviter la politique et rester sur une analyse objective tant que je peux ) ; il se peut qu’il y a quelques cas de vols d’organes mais le phénomène bouche à oreille était tellement énorme que tout le monde avait peur dans les rues et les crèches sont devenus presque vides ;l’image qui s’est crée n’est pas celle de la relaté est très loin même !
Donc le problème c’est la manière avec la quelle le tunisien voit le paiement sur Internet ; autrement c’est sa perception du e-commerce ; on raconte sur des forums que des cartes bancaires sont débités deux fois pour payer le STEG ou autre , et que des histoires genre le serveur des paiements est très ancien, ou une autre personne qui a acheté et n’a jamais reçu de produit sans parler combien de voit on parle des transactions frauduleuse ou des sites de ventes très connus qui étaient piratés …)
Donc c’est l’effet psychologique qui induit cette image ; d’où ce qu’il faut travailler ensemble c’est la perception du tunisien de la sécurité des paiement et non pas la sécurité, c’est cette image que le tunisien a qu’on on doit travailler davantage et donner des exemples pratiques et non pas des discours théoriques ou des communiqués que l’internaute tunisien ne les regarde même pas !